Au sommaire du rapport LAB-FT BeCLM :
> L’évolution de la liste PPE France
> Les changements dans les listes de sanctions internationales
> Elie Lafin, COO de BeCLM : « Une solution de conformité ne peut plus être un empilement d’outils »
> Une large bibliothèque d’indicateurs pour couvrir tous vos risques
Ce dixième numéro du rapport LAB-FT est en open data.
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ÉVOLUTION DE LA LISTE
PERSONNES POLITIQUEMENT EXPOSÉES (FR) :
Les variations suivantes s’entendent entre le 1er et le 31 mars 2025
- Cour de cassation, Conseil d’État, Conseil constitutionnel : +15
- Bénéficiaires effectifs des entreprises publiques : +159 , -146
- Cour des comptes : +6
- Ambassadeurs : +3
N.B. : Nous ne listons ici que les changements dans une sélection de fonctions.
Toutes les autres sont évidemment prises en compte dans nos listes PPE.
Notre offre de listes PPE est complète pour chaque pays du monde où il est possible de les constituer.
Chaque mois, des tableaux opérationnels pour monitorer les mouvements de sanctions internationales par pays :
VARIATIONS DU NOMBRE DE SANCTIONS INTERNATIONALES PAR PAYS
PERSONNES PHYSIQUES
Données de mars 2025
VARIATIONS DU NOMBRE DE SANCTIONS INTERNATIONALES PAR PAYS
PERSONNES MORALES
Données de mars 2025
UNE SOLUTION DE CONFORMITÉ
NE PEUT PLUS ÊTRE UN EMPILEMENT D’OUTILS
Entretien avec Elie Lafin, COO de BeCLM, à propos de la nouvelle version de leur solution KYC
Dans un marché longtemps structuré en silos – solutions LCB-FT d’un côté, KYC et KYT de l’autre – on voit émerger une nouvelle génération d’outils transversaux.
Pensées pour couvrir l’ensemble des obligations des assujettis, ces plateformes répondent à la densification réglementaire et à la nécessité d’automatiser intelligemment les processus de vigilance.
Dans ce contexte, BeCLM fait évoluer en profondeur sa solution KYC/B. Au programme : cartographie des risques sur mesure, indicateurs en pick and choose, et expérience utilisateur repensée.
Elie Lafin, COO de BeCLM, revient sur les choix structurants de cette nouvelle version.
BeCLM : Cette nouvelle version, c’est une refonte complète ou une évolution ciblée ?
Elie Lafin :
On n’a pas réinventé ce qui fonctionnait déjà dans BeCLM, mais on a écouté nos clients.
Clairement, ils veulent un outil qui colle à leur réalité opérationnelle, qui s’adapte à eux et pas l’inverse. Donc oui, c’est une vraie évolution de fond.
Quels étaient les principaux points de friction chez vos clients ?
Certains outils donnent l’impression qu’il faut s’adapter à leur logique.
Nous, on a fait l’inverse.
On a d’abord rendu la cartographie des risques totalement personnalisable : chacun peut créer ses niveaux de vigilance, croiser ses propres critères, définir ses scénarios. Rien d’imposé par défaut.
Ensuite, on a introduit un système d’indicateurs en pick and choose.
Le client pioche dans une bibliothèque d’indicateurs adaptés à son métier, ou on les crée sur mesure avec lui, à partir de zéro.
On a également beaucoup travaillé l’ergonomie.
Tout est centralisé dans un même espace : sources, pièces, données, historique, alertes… tout est sous la main, à portée de clic. Et ça change tout.
Dès les premières migrations, nos clients nous ont dit :
« C’est plus simple, plus intuitif, plus agréable à utiliser. »
On n’a pas besoin d’ouvrir cinq écrans ou de faire trois clics pour comprendre un dossier.
Nous offrons le confort d’un outil bien pensé.
Cette logique du “All in One”, c’est une réponse à la complexité réglementaire ?
Oui, mais pas seulement.
C’est surtout une réponse à la diversité des profils clients. Un courtier, une mutuelle, une banque régionale…
Ils n’ont ni les mêmes flux, ni les mêmes risques, ni les mêmes moyens.
Le rôle d’un éditeur aujourd’hui, c’est de fournir une base solide, mais suffisamment souple pour que chacun y retrouve sa logique métier.
Ce qu’on voit, c’est que la conformité ne peut plus être un empilement d’outils.
Les budgets ne sont pas extensibles. Et intégrer une multitude d’outils, chacun pour une tâche différente, c’est :
- trop coûteux,
- trop complexe à maintenir,
- et à contre-courant des besoins métiers.
Les entreprises veulent simplifier leurs process, pas les complexifier.
Notre vision, depuis le départ, c’est celle du All in One : permettre à nos clients de couvrir le plus grand nombre de zones de risque, le plus simplement possible et au meilleur coût. Et surtout, les guider et leur libérer du temps.
Grâce à l’IA, nos clients constatent déjà des gains de productivité significatifs sur le traitement des alertes.
Et nous voulons aller plus loin.
Nous travaillons à injecter de l’intelligence sur le reporting, la priorisation des tâches, la configuration.
Moins de tâches manuelles, plus de valeur.
Toujours dans la même logique : faire gagner du temps à ceux qui n’en ont pas.
Vous souhaitez découvrir la nouvelle version de notre solution KYC ?
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KYC : UNE LARGE BIBLIOTHÈQUE D’INDICATEURS
POUR COUVRIR TOUS VOS RISQUES
La bibliothèque d’indicateurs KYC BeCLM n’est pas un pack figé : c’est un moteur d’analyse que vous composez selon vos enjeux.
Pour détecter les risques, encore faut-il savoir où regarder.
Chez BeCLM, nous avons conçu une large bibliothèque d’indicateurs KYC capable de transformer votre dispositif de vigilance en moteur de détection sur-mesure.
Ici, pas de pack figé ni de règle toute faite : vous choisissez les signaux que vous souhaitez suivre, selon votre activité, votre clientèle, vos obligations. Une cinquantaine d’indicateurs BeCLM sont déjà disponibles — et chaque semaine, de nouveaux viennent enrichir notre socle.
Un aperçu des signaux que vous pouvez suivre (parmi bien d’autres) :
- Activité risquée
- Nationalité
- Patrimoine
- Profession risquée (Catégorie socio-professionnelle)
- Résident pays GAFI à risque
- Risques liés aux flux financiers entrants/sortants du client
- Secteur d’activité à risque en termes de corruption
- …
Un indicateur manque ? On le crée avec vous
Votre moteur KYC peut – et doit – refléter vos propres critères de vigilance.
Vous souhaitez suivre un comportement spécifique ? Un cas d’usage métier ? Un profil de risque atypique ? Parfait. On l’intègre.
Les risques ne sont pas uniformes.
Vos indicateurs ne devraient pas l’être non plus.
Explorons ensemble les signaux que vous suivez aujourd’hui… et ceux que vous pourriez capter demain pour affiner votre vigilance métier.
Pour toute question sur la solution KYC BeCLM ou nos indicateurs, contactez Elie Lafin, notre Head of Sales :
CAS DÉTUDE : LA BIBLIOTHÈQUE D’INDICATEURS
D’UN COURTIER SPÉCIALISÉ EN ASSURANCES COLLECTIVES
13 indicateurs mis en place pour le KYC de ce courtier dont les clients sont quasi exclusivement des personnes morales.
Ce client a composé un ensemble d’indicateurs entre conformité réglementaire et suivi opérationnel, en exploitant trois types d’indicateurs disponibles dans la solution BeCLM :
- Listes officielles (en bleu) : C’est le socle réglementaire dur, structurant, indispensable pour tout acteur assujetti.
- Indicateurs personnalisables (en vert) : conçus pour intégrer les spécificités métier de chaque client — ici, la taille des entreprises assurées (effectif) ou le niveau de risque du secteur d’activité (corruption), des critères clés en assurance collective.
- Contrôles Bodacc (en orange) : ces contrôles constituent une veille continue sur la solvabilité et la stabilité des assurés, particulièrement utile en assurance collective où les engagements sont récurrents et où la cessation d’activité a un impact fort.
Ce mix d’indicateurs signe la capacité de BeCLM à articuler données réglementaires, signaux économiques et exigences métier dans un « cockpit de pilotage » unique.
Les informations contenues dans le présent document ont un objet exclusivement général et ne peuvent en aucun cas être utilisées comme se substituant à une consultation avec un professionnel. En tout état de cause, en aucun cas la responsabilité de BeCLM ne pourra être engagée du fait ou à la suite d’une décision prise sur la base des informations contenues dans le présent document.
